Ce test a été fait par Fanaworld grâce à une clé envoyée par Maximum Entertainment.

Salutations à tous mes chers gamers, je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du jeu The Karate Kid Street Rumble qui est sorti sur toutes les plateformes le 20 Septembre 2024. Alors préparez vous à une véritable bouffée de nostalgie avec ce beat them all qui sent bon les années 80.

Si vous êtes comme moi un joueur qui a la quarantaine bien tassée et qui avez connu les débuts du jeu vidéo, ce The Karate Kid Street Rumble va vraiment vous faire revivre vos jeunes années de gamer où l’on jouait avec nos potes sur la Master System avec Street Of Rage par exemple. Car c’est clairement la même expérience mais revu au goût du jour faut pas exagérer, on est en 2024 non de non !

Comme d’habitude on va commencer par l’histoire, et c’est pour une fois sur un territoire connu puisque le jeu s’inspire très largement de la trilogie cinématographique des Karate Kid. Une saga incontournable des années 80 et qui nous narrait les aventures de Daniel LaRusso, M. Miyagi, Ali Mills ou Kumiko face à Johnny Lawrence et Cobra Kai. Bien sûr si vous êtes de la jeune génération, ces noms ne vous diront probablement pas grand chose mais pour les autres, les souvenirs remonteront très vite.

Du Pixel Art sinon rien. Et qui dit années 80, dit forcément pixels. Alors effectivement et comme vous avez déjà pu le voir sur les différents screenshots, ce The Karate Kid Street Rumble est tout en pixels. Alors bien sûr les développeurs de chez Odaclick Game Studio nous proposent une version actuelle de ce genre de jeu et pas une bouillie de pixels comme on pouvait avoir à l’époque. C’est ultra fluide, coloré et rempli d’animations en tout genre. Et comme dans le bon vieux temps on va pouvoir tabasser nos adversaires à coups de poing et à coups de pieds pour notre plus grand plaisir. Il y aura même quelques éléments destructibles comme des parcmètres (il n’avaient rien demandé mais ils n’avaient qu’à pas être là….) où bien des cartons posés négligemment sur le trottoir avec de temps en temps des items nous redonnant de la vie. L’esprit des premiers Beat’m all est vraiment bien retranscrit et on prend plaisir à jouer dès les premières minutes.

Rock’n’roll Baby… Car oui, c’est un fait, si on parle de cette période enchanteresse, on ne peut pas négliger la partie importante qu’est la musique. C’est un chaînon indispensable et non dissociable de l’expérience. Un jeu de ce genre sans musique, c’est comme un hamburger sans steak, c’est impensable. Et dans ce The Karate Kid Street Rumble, elle est évidemment bien présente et d’une excellente qualité. Elle accompagne nos uppercuts et autres retournés acrobatiques à la perfection. C’est du fun à l’état pur, non vraiment j’ai pas d’autres mots. Alors je suis sûrement sous l’influence de la nostalgie qui m’a envahi en jouant mais qu’importe, si j’écris ces articles c’est bien pour vous transmettre les sentiments que je ressens lors de mes parties. C’est donc ce que je fais et pis c’est tout, na ! Après cette envolée lyrique, revenons quand même un peu sur des faits. Le jeu contient en plus du mode histoire, où l’on peut jouer seul ou en coopération avec trois autres amis en local, ce qui est un vrai plus pour le partage, un mode jukebox où l’on peut écouter à loisir l’ensemble des morceaux présent tout au long du jeu et ça c’est cool. Il y a également la possibilité de voir les planches des concepts art des personnages du jeu. C’est intéressant de voir les détails des différentes animations. Il faut dire que je suis plutôt friand de ce genre de chose.

Bref en un mot comme en cent, vous l’aurez compris j’ai vraiment apprécié cette expérience vidéo-ludique qui m’a littéralement projeté dans ma jeunesse. J’avais oublié à quel point c’était cool de fracasser des tonnes de méchants pas beaux qui arrivent sur nous en scrolling horizontal. Comme quoi la simplicité d’un Beat’m all c’est parfois aussi cool et fun que de la 3D et de l’Open World.

Les Plus :

• Une ambiance 80 palpable
  
• Une bande son excellente
  
• Du fun à l’état pur

Les Moins :

• Pas toujours facile d’être pile poil en face de ses ennemis 
  
• Quand on meurt on recommence au début du niveau 
  
• Forcément assez répétitif mais c’est le genre du jeu qui veut ça