
Ce test a été fait grâce une mise à jour de la version dématérialisée que m’avait envoyé Ubisoft à l’époque.
Avec Valley of Memory, Ubisoft enrichit Assassin’s Creed Mirage d’un contenu narratif de grande qualité qui prolonge parfaitement l’aventure principale. L’histoire reprend juste après la fin du jeu et nous entraîne dans une quête profondément personnelle. Basim Ibn Ishaq part à la recherche de son père, une figure restée dans l’ombre mais dont l’influence façonne tout son destin.


L’un des grands atouts de ce DLC est sa capacité à plonger encore plus loin dans la psyché de Basim. Là où Mirage se distinguait déjà par son approche centrée sur un héros tourmenté, Valley of Memory pousse l’introspection à un niveau supérieur. Le récit mêle souvenirs enfouis, révélations familiales et confrontations émotionnelles, donnant à Basim une profondeur rarement atteinte dans la saga. L’écriture est soignée, mature et empreinte de mélancolie. Chaque dialogue sonne juste, chaque scène apporte son lot d’émotions et de nuances, et l’ensemble enrichit considérablement la compréhension du personnage.


La nouvelle région introduite, cette mystérieuse « Vallée de la Mémoire », est un terrain de jeu magnifique et propice à l’exploration. Plus sauvage, plus silencieuse, presque sacrée, elle contraste avec l’effervescence de Bagdad. Entre gorges arides, montages rocheuses, le DLC déploie une direction artistique inspirée qui sert merveilleusement son ambiance introspective.


Le gameplay ne change pas et ce n’est pas un défaut. Valley of Memory reste profondément ancré dans l’ADN de Mirage, misant sur l’infiltration pure, l’observation et l’agilité. Pas de nouvelles mécaniques révolutionnaires ici, mais une utilisation maîtrisée de ce que Mirage fait déjà très bien. Cette continuité contribue à maintenir une cohérence parfaite entre la campagne principale et le DLC.



Ce DLC rappelle avec force pourquoi Assassin’s Creed Mirage a tant séduit les joueurs, et pourquoi il reste, selon beaucoup, supérieur à Assassin’s Creed Shadows. Là où Shadows s’égare dans une approche plus dispersée et parfois moins inspirée, Mirage et Valley of Memory recentrent la saga sur ce qui faisait son âme, une identité forte, un héros complexe, un récit maîtrisé et une expérience d’assassin assumée. Ce DLC est la preuve que l’orientation choisie pour Mirage était la bonne, et qu’elle possède une richesse narrative et une cohérence qui manquent cruellement à Shadows.


Sans rien dévoiler, la fin du DLC apporte des réponses essentielles et éclaire d’un nouveau regard le futur de Basim. Elle est poignante, subtile, et parfaitement alignée avec la mythologie d’Assassin’s Creed. Une vraie réussite. Valley of Memory est un excellent DLC, intense, émouvant et parfaitement intégré à l’univers de Mirage. Il enrichit la narration sans trahir l’expérience originale, tout en rappelant pourquoi Mirage s’impose comme l’un des meilleurs retours aux sources de la saga.



Les Plus :
- Une histoire intime et émouvante.
- Une écriture mature et nuancée.
- Une cohérence totale avec le jeu de base.
- Un DLC qui rappelle pourquoi Mirage surpasse Assassin’s Creed Shadows.
- Une conclusion poignante.
Les Moins :
- Aucune nouveauté de gameplay.
- Trop d’attente pour une durée aussi courte
- Peu de surprises dans les missions, qui restent dans la continuité stricte de Mirage.


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