Après un premier épisode fort intéressant avec une direction artistique des plus magnifiques, on se demandait si la suite allait pousser la chose encore plus loin et c’est le cas. Le jeu est une réussite sur énormément de points avec des ajouts qui le différencie bien de son prédécesseur. Je vous invite à lire la suite de mon test pour avoir plus de détails.
Après les évènements de l’Arbre Ginso, des Ruines Éplorées et du Mont Horu, notre jeune ami se retrouve sur les terres menaçantes de Niwen. Il fallait sans douter, il n’a plus de pouvoirs, sinon le jeu perdrait tout son sens et il serait beaucoup trop facile.Vous parcourrez la carte à la recherche des feux follets disséminés un peu partout. Ces derniers vous permettront de débloquer de nouvelles compétences pour pouvoir avancer plus facilement dans l’aventure. Le gros soucis de ce titre à mes yeux, c’est le coté brouillon de l’aspect graphique. Il y a tellement de détails à l’écran que parfois, on s’y perd légèrement, c’est certes très beau, mais assez bordélique.La grosse nouveauté de cet épisode, c’est les boss qui sont de toute beauté et gigantesques. Ils permettent de donner un petit coup d’action dans un titre plutôt poétique. Les ennemis de base sont toujours présents et évoluent en puissance plus on avance dans l’aventure. J’ai noté un second soucis dans le jeu, c’est le nombre de choses qu’il faut assimiler, chaque touche est utilisée et donc ça demande un certain temps d’adaptation pour tout maitriser à la perfection. Personnellement même à la fin du titre, je me suis retrouvé à encore me tromper de toucher pour faire l’action que je souhaitais.Pour conclure, cette suite montre que Moon Studios savent y faire, ils ont promis un titre encore plus beau, une carte plus grande et c’est le cas. Après qui dit carte plus grande, ne veut pas forcément dire jeu plus long. Le titre se termine comme pour le premier, en douze heure pas plus, pas moins. Ceci s’explique par un jeu beaucoup plus simple que le premier épisode. La musique est toujours un régal et l’aventure est toujours aussi poétique.
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